..les blogs de bougies..
J'ai , fort heureusement, trouvé une vraie perle au milieu de toute cette bimbeloterie.
mais très joliment, décrivant ses espérances face à une nouvelle senteur
( elle sait même traduire les petits discours lénifiants accompagnant les bougies américaines)
elle utilise le moins possible tout le jargon que les bougies - addicts sont seules à comprendre
-bien que rarement bilingues: haul, mason jar, tumbler, grubby tart ..;
Si elle a des doutes sur une fleur, un fruit, elle part à sa recherche
et ainsi , nous apprenons plein de choses ( les melons du Pape..)
les livres, la danse, la cuisine , elle fait de tous ces aspects une vie que l'on apprécie de loin
Son sens de l'esthétique lui fait préférer les belles bougies, les beaux carnets, les encres
elle consomme certes énormément de bougies parfumées, elle est très exigeante,
elle sait ce qu'elle veut, ce qu'elle aime, elle dit ce qu'elle pense avec beaucoup d'élégance,
bref , n'en jetons plus, c'est FLORENCE et son blog est NOSCE TEMPUS .
http://noscetempus.com/
Je ne lis plus que son blog, comme un roman à épisodes.
Adieu donc, les " un jour, une tarte"!!!
je ne sais pas si la dame s'est bien rendu compte du ridicule de la situation:
pour moi, une tarte est une idiote, une niaise, une dinde, une quiche
ah oui, une tarte pour une quiche ou une quiche pour une tarte: ça ouvre des horizons!!
..des tarts.. |
..des quiches... |
...et une idiote... |
en allumant une bougie au chocolat chaud....
c'est du gâchis pour le thé et pour la bougie
Adieu la gentille maman qui fait brûler dans la chambre de son fils, la senteur qu'il déteste
Sociologiquement, la lecture de ces blogs révèle une tranche d'âge ( 20/40 ans)
quasi illettrée, très satisfaite d'elle même, mauvaise consommatrice,
très suiviste : il y a toujours une chef de troupeau et tout le reste suit.
Il fut un temps où les dictatures fleurissaient beaucoup, non seulement dans le bloc de l'Est ,
mais en Amérique du Sud, en Afrique... et où le droit à la parole était rarissime.
TOPOR pour Amnesty |
et le si mauvais usage que l'on en fait me navre, me désespère aussi un peu.
NON, je ne fais pas partie de cette communauté.
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